Lieu de naissance:
Haifa, British Mandate for Palestine (now Israel
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Haya Harareet
Haya Harareet ou Hararit (en hébreu: חיה הררית), originellement Neuberg, est une actrice et scénariste israélienne née le 20 septembre 1931 à Haïfa, en Palestine mandataire et morte le 3 février 2021 à Marlow au Royaume-Uni.
Née en Palestine mandataire avant la création de l'État israélien dans la ville de Haïfa, elle est la fille aînée de Reuven et Yocheved Neuberg qui avaient immigré de Pologne à l'adolescence. Elle grandit et fait ses études à Haïfa. Son père est fonctionnaire du gouvernement pendant de nombreuses années. À l'école, son nom est changé en Hararit puis par la MGM en Harareet (qui signifie «montagneux» ou «des montagnes» en hébreu).
Enfant, elle est membre de la fanfare Maccabi et lors de son service militaire qu'elle débute à 17 ans, elle sert dans la fanfare de la Marine israélienne.
Jeune fille, elle se fait d'abord distinguer en remportant l'un des premiers concours de beauté dans l'Israël naissant.
Elle fréquente l'école dramatique du théâtre Cameri à Tel Aviv...
Haya Harareet ou Hararit (en hébreu: חיה הררית), originellement Neuberg, est une actrice et scénariste israélienne née le 20 septembre 1931 à Haïfa, en Palestine mandataire et morte le 3 février 2021 à Marlow au Royaume-Uni.
Née en Palestine mandataire avant la création de l'État israélien dans la ville de Haïfa, elle est la fille aînée de Reuven et Yocheved Neuberg qui avaient immigré de Pologne à l'adolescence. Elle grandit et fait ses études à Haïfa. Son père est fonctionnaire du gouvernement pendant de nombreuses années. À l'école, son nom est changé en Hararit puis par la MGM en Harareet (qui signifie «montagneux» ou «des montagnes» en hébreu).
Enfant, elle est membre de la fanfare Maccabi et lors de son service militaire qu'elle débute à 17 ans, elle sert dans la fanfare de la Marine israélienne.
Jeune fille, elle se fait d'abord distinguer en remportant l'un des premiers concours de beauté dans l'Israël naissant.
Elle fréquente l'école dramatique du théâtre Cameri à Tel Aviv puis fait ses débuts dans un court métrage à la télévision. Elle obtient son premier rôle au cinéma dans Hill 24 Does Not Answer (titre original: Giv'a 24 Eina Ona), dirigé par le réalisateur britannique Thorold Dickinson, film anglo-israélien phare, en langue anglaise, première production de long métrage à être tournée et produite entièrement en Israël, et destinée à une distribution internationale. Elle y joue Miriam Mizrahi, une Palestinienne sabra aux yeux noirs travaillant pour le Jewish Underground. Le film figure dans la sélection officielle de la Palme d'or au Festival de Cannes 1955. Elle joue ensuite face à Virna Lisi et Serge Reggiani dans le film italien La donna del giorno (La Femme du jour) de Francesco Maselli, en 1957.
Haya Harareet est surtout connue pour son rôle d'Esther, esclave affranchie, donnant la réplique à Charlton Heston dans le film classique et couvert d'Oscars Ben-Hur de William Wyler, en 1959 - réalisateur qu'elle avait rencontré au festival de Cannes. Elle est le seul membre de la distribution qui venait d'Israël, le lieu d'origine de l'histoire de Ben Hur, indiqué «Judée». Le magazine américain Variety salue sa performance dans le film.
Par la suite, elle joue dans des productions moins prestigieuses comme le film italien de Francesco Maselli La donna del giorno (La Femme du jour) en 1957, The Lost Kingdom (en français: L'Atlantide) avec Jean-Louis Trintignant où elle figure la reine Antinea en 1961, Scotland Yard contre X en 1961 avec Stewart Granger.
Le 9 mai 1960, François Chalais l'interviewe en français sur La Croisette à Cannes.
Elle devient coscénariste du film Chaque soir à neuf heures d'après le roman éponyme de Julian Gloag, où joue Dirk Bogarde, en 1967.
Haya Harareet s'est mariée une première fois avec Nachman Tsrevnitzer, un ingénieur israélien, producteur de films et membre de longue date du Parti communiste jusqu'en 1958. Harareet elle-même avait quitté le parti en 1956. Les époux vivent à Tel Aviv et divorcent dans les années 1960. ...
Source: Article "Haya Harareet" de Wikipédia en français, soumis à la licence CC-BY-SA 3.0.