Claude Villers, de son vrai nom Claude Marx, né le 22 juillet 1944 à Everly (Seine-et-Marne), est un journaliste et homme de radio et de télévision français.
La majeure partie de sa carrière radiophonique s'effectue à France Inter où il est successivement auteur de sketches, animateur et producteur. Par ailleurs, il est écrivain et voyageur, passionné de trains, de paquebots, de voyages et d'aventures.
Fils d'un ouvrier massicotier et d'une mère dactylo, Claude Villers quitte le Pas-de-Calais très jeune et fait mille métiers: employé de banque au Crédit lyonnais pendant deux mois à 14 ans, catcheur de foire (1959, avec comme surnom «l'homme au masque de soie»), avant d'obtenir sa carte de presse à 17 ans et demi en 1961. Il est alors le plus jeune journaliste de France.
Claude Villers fait ses débuts en 1961 dans la presse écrite notamment à Paris-Jour, Radio-Télé Magazine, La Presse, Plexus, Paris-Presse. Il commence à travailler à la radio en 1962, avant d'arriver à l'ORTF en 1964...
Claude Villers, de son vrai nom Claude Marx, né le 22 juillet 1944 à Everly (Seine-et-Marne), est un journaliste et homme de radio et de télévision français.
La majeure partie de sa carrière radiophonique s'effectue à France Inter où il est successivement auteur de sketches, animateur et producteur. Par ailleurs, il est écrivain et voyageur, passionné de trains, de paquebots, de voyages et d'aventures.
Fils d'un ouvrier massicotier et d'une mère dactylo, Claude Villers quitte le Pas-de-Calais très jeune et fait mille métiers: employé de banque au Crédit lyonnais pendant deux mois à 14 ans, catcheur de foire (1959, avec comme surnom «l'homme au masque de soie»), avant d'obtenir sa carte de presse à 17 ans et demi en 1961. Il est alors le plus jeune journaliste de France.
Claude Villers fait ses débuts en 1961 dans la presse écrite notamment à Paris-Jour, Radio-Télé Magazine, La Presse, Plexus, Paris-Presse. Il commence à travailler à la radio en 1962, avant d'arriver à l'ORTF en 1964, où il participe à la création du Pop-Club avec José Artur, émission qui a amené la «musique de sauvages» à l'antenne. Il a également été correspondant à New York et a produit de nombreuses émissions. Il a couvert le festival de Woodstock, malgré l'opposition de sa hiérarchie.
Entre 1972 et 1989, il produit et présente des émissions, réalise des documentaires et des films pour de grandes chaînes de télévision. Il est une des grandes voix de France Inter, qu'il fait entendre comme animateur d'émissions telles que Pas de panique, Marche ou rêve et dans son rôle du président du Tribunal des flagrants délires.
À la télévision, il apparaît occasionnellement pendant les années 1970, notamment dans des émissions portant sur ses passions: la musique américaine, les voyages. À partir de 1980 il est présent chaque semaine pour animer une émission-jeu de Jean Frapat: Télétests. L'adaptation télé des Flagrants délires pour Antenne 2 se heurtant à une forme de censure, il abandonne rapidement. En 1982 il lance une émission de cinéma: Ciné-Parade. Il participe à Merci Bernard. En 1984, il présente depuis New York une émission spéciale en hommage à George Orwell. En 1986 pour France 3 Grand Est, il présente une émission hebdomadaire consacrée aux cuisines du monde.
En 1981, il intègre la radio RMC en tant que directeur des programmes. Ce faisant il rejoint son ami et confrère Jean-Claude Héberlé. Mais l'expérience tourne court: quand Villers constate que les deux hommes n'auront pas la liberté souhaitée, il souhaite se désengager. Étant lié par son contrat, il parvient à négocier un changement d'emploi. Pendant une année, il produit l'émission quotidienne Le Vent du désert: le tour des États-Unis en train.
À la rentrée de 1982, il revient sur France Inter et reprend le Tribunal des flagrants délires, qu'il avait abandonné en plein succès. Dans les années qui suivent, il changera plusieurs fois de radio. Il quitte de nouveau France Inter sur un désaccord, travaille un temps avec Jean-Marie Cavada pour une version privée des Flagrants délires, se pose un temps à France Culture, revient à Inter, qu'il quitte à nouveau avant de la retrouver après une autre aventure. ...
Source: Article "Claude Villers" de Wikipédia en français, soumis à la licence CC-BY-SA 3.0.